Histoire porno : Mon premier plan sexe au bureau

Je suis une jeune étudiante en médecine qui a hâte de vous dévoiler son histoire porno que j’ai publiée en intégralité sur Dialogue69, j’espère qu’elle vous plaira

Pendant l’été je fais un petit boulot à Mi-temps dans un centre d’appel. Ce n’est pas un métier que j’apprécie particulièrement mais au moins il me permet d’arrondir mes fins de mois. Je me pointe un matin comme d’habitude au bureau mais je me rends très vite compte que l’atmosphère est différente. Rien de plus normal puisque les locaux sont quasiment vides. En ayant fait le tour je tombe sur mon patron qui a l’air surpris de me voir.

Bonjour n’avez-vous pas reçu le message des ressources humaines, c’est un jour-off pour la remise aux normes de notre système informatique

En effet je venais de changer mon numéro et je n’avais pas eu le temps d’en avertir la direction.

Non je n’ai pas reçu l’information, je vais donc rentrer chez moi.

Le patron me regarda d’un air avide, car c’est vrai que j’étais plutôt habillée légèrement et me demanda de le suivre dans son bureau. Je m’empressais de m’exécuter car j’étais curieuse de savoir ce qu’il me voulait. Il me dit sans sourciller : j’ai une grosse envie de vous bouffer la chatte, vous êtes libre de partir si ça ne vous intéresse pas.

Une histoire porno dans les locaux d’un centre d’appel

J’étais à la fois surprise et excitée par ce que mon boss venait de me dire, je ne sais pas s’il avait un œil sur moi depuis longtemps ou si ça lui était venu comme ça mais peu importe, j’allais pouvoir me taper ce beau gosse. Pour seule réponse, j’ai tout de suite commencé à retirer mes vêtements et me suis mise à quatre pattes en attendant qu’il s’approche.

Un patron lubrique à souhait

Ce gros cochon se mit à me bouffer le minou et à me lécher le trou de balle, heureusement que j’ai une hygiène irréprochable. Ma chatte était déjà bien dilatée par la mouille car j’étais surexcitée. Il a très vite compris que l’heure était venue de m’enfiler. Il ne se fit pas prier et enfonça sa queue dans ma fente. La délicatesse dont il faisait preuve était surprenante, il accéléra délicatement le rythme jusqu’à me labourer avec une dose de brutalité que j’ai su apprécier. J’ai joui avec une force inouïe, preuve que mon patron avait de nombreux talents. Je lui proposais de me sodomiser, mais il s’y refusa, prétextant qu’il souhaitait explorer mon derche à notre prochain rendez-vous cul.